Tell me about you

Indépendante: Je déteste dépendre de quelqu'un. Et encore plus que quelqu'un prenne soin de moi. Cela me donne des boutons. Je préfère de loin prendre soin de moi toute seule que d'être obligé de dépendre de quelqu'un. Râleuse: Je suis même championne olympique des râleuses. Dès que quelque chose ne me plait pas, je ne me gêne pas pour le dire et même pour le répéter aussi longtemps que je le voudrais. Cela énerve souvent mes collègues mais ils ont fini par passer outre mes petits moments de chieuse. Secrète: Je déteste parler de moi. Et puis, de toute façon, qui voudrait m'écouter quand j'ai le blues le soir. Il y a bien ma colocataire qui daigne m'écouter quand elle le décide. Mais sinon, je ne parle quasiment jamais de moi, préférant écouter les autres. Têtue: Je peut parfois être pire qu'une mule quand je l'ai décidé. Quand j'ai une idée en tête, je ne l'ai pas ailleurs comme me disent mes collègues si vous voyez ce que je veux dire. Les rares personnes qui veulent me faire changer d'avis sur quelque chose ni sont jamais arrivées... Ou quand elles ont réussi, elles ont du batailler ferme. Drôle: Et oui, aussi étrange que cela puisse paraître, il m'arrive d'être drôle. Oh, rassurez vous, je ne le suis qu'avec un nombre limité de personne et souvent, je rigole à leur dépend. Mais il m'arrive aussi de faire des blagues sans arrière pensée même si ces moment sont rares. Généreuse: Pour les quelques personnes qui me tiennent à coeur, je serais capable de tout faire. J'ai déjà dépanné une copine dans le besoin en lui filant mon lit dans l'appartement que j'occupe. Mais je sais que je serais capable de faire bien plus, quitte à me sacrifier pour une personne que j'aime. Aimante: Je suis quelqu'un qui s'attache facilement aux gens. Sauf à mes collègues, ils ne le méritent pas. Mais une fois que je suis attachée, je découvre une toute autre facette de ma personnalité. Je peux être gentille, attentionnée, douce et j'en passe. Mais il faut vraiment en vouloir et faire quelque chose pour que je devienne gentille et que je m'attache à quelqu'un. Intelligente: Beaucoup de personne me demandent comment j'ai fait pour devenir ambulancière alors que j'ai une sacrée culture générale... La vie, tout simplement. Je suis une femme intelligente et pourtant, cela ne m'a pas empêché de travailler dans les camions et autres ustensiles médicaux sans pour autant être médecin. Non pas que ce soit un sot métier mais ma mère auraient aimé que je devienne prof.

“He made the devil so much stronger than a man”

Je m’appelle Paris Katherin Woodbrend. Mais je ne me suis pas toujours appelé ainsi. A ma naissance, je suis née sous le doux prénom de Cassie Brendford. Ma vie a commencé quand ma mère me donna naissance dans un petit hôpital de Montréal. Manque de bol pour mon père, je suis née fille. Lui qui désirait tant un petit garçon… Il fut servi, d’autant plus que ma mère tomba gravement malade après son accouchement. Bien sûr, elle survécu mais elle n’aurait plus jamais la chance de porter un enfant. Autant vous dire que cela déplu foncièrement à mon père mais il resta avec nous, par amour pour ma mère. J’ai grandi sans amour de la part de mon père mais ma mère m’aimait pour deux. J’étais sa petite princesse et nous étions très proches toutes les deux. Je ne comprendrais que bien plus tard pourquoi. A l’école, j’étais une petite fille très dissipée, souvent dans la lune et dans mes pensées. Mais j’avais quand même de bons résultats, ma mère étant professeur dans un collège, elle m’aidait quand je ne comprenais pas quelque chose. Mais cela avait tendance à énerver mon père. Tout se passa bien jusqu’à ce que j’aie dix ans.

Un soir où j’étais seul avec mon père, ma mère ayant été retenue au collège, ce dernier commença à devenir violent envers moi. Alcoolique depuis l’annonce de la stérilité de ma mère, il avait perdu son emploi et buvait comme un trou. C’est ce soir-là que le premier coup vola. Un simple gifle mais les autres furent pires. Au fur et à mesure que je grandissais, mon père continuait à me battre. Ma mère n’en su jamais rien, je préférais ne pas lui dire car elle aimait tellement mon père malgré tout ce qu’il lui faisait vivre. Pour ma part, je ne l’aimais pas mais je faisais semblant pour ma mère. Elle n’aurait jamais supporté que son enfant déteste son père à ce point. Pendant cinq ans, ce furent des coups qui s’abattirent sur mon corps, ne le marquant qu’à des endroits où personne ne verrait les marques de bleus. Je n’oublierais notamment jamais le soir où, plus saoul que les autres soirs, mon père me poignarda l’épaule. Bien sûr, cela alerta ma mère mais je suis annonçais que j’étais tombée dans l’escalier et je fus juste bonne pour des points de sutures chez le médecin.

Mais à quinze ans, j’étais presque devenue une femme et cela avait dû faire péter un boulon à mon père, je ne voyais que cette explication. Un soir où ma mère était de sortie avec des amies et où je révisais tranquillement dans ma chambre, mon père entra dans cette dernière et devint plus entreprenant envers moi. Ce fut le premier viol d’une longue série. Pendant trois ans et minimum une fois tous les trois mois, je devais subir les assauts de mon père. J’étais devenue une jeune fille renfermée et peu bavarde, moi qui avais pourtant la langue bien pendue quand j’étais petite. Sauf qu’un soir, tout dérapa. Je venais tout juste de fêter mes dix-huit ans, je les avais depuis deux semaines environ, quand mon père entra à nouveau dans ma chambre. Sauf que ce soir, j’étais bien décidée à me rebeller. Mais rien ne se passa comme prévue. Je ne compris ce qu’il se passait que lorsque je sentis mes crocs se planter dans la gorge de mon père, la lui déchiquetant totalement. Je croisais mon regard dans le miroir, un regard jaune et animal : celui d’un loup. Je retrouvais rapidement ma forme humaine, ne comprenant pas ce qu’il m’arrivait. Je fuis sans même attendre le retour de ma mère et après avoir pris une douche et changé de vêtements. Le lendemain, j’étais déjà bien loin de la banlieue de Montréal. J’appris que j’étais recherchée pour meurtre sur mon père et je décidais de changer d’identité. Adieu Cassie et bonjour Paris.

J’ai longtemps erré dans le pays, vivant de petits boulots. Et puis, un jour non loin de Vancouver, un homme me donna ma chance. Je devais conduire une ambulance sans me soucier de ce qu’il y avait dedans. J’avais seulement vingt-deux ans. Bien sûr, je n’avais pas mon permis mais cet homme m’apprit tout ce que je devais savoir sur la conduite et à vingt-quatre ans, j’étais devenue une très bonne conductrice. Il me paya mon permis ainsi que des études pour devenir ambulancière. Je ne compris pas cette générosité jusqu’à ce que je découvre quelque chose: cet homme était comme moi. Il pouvait se transformer en un animal. Il m’expliqua tout ce que j’avais à savoir sur les miens, les métamorphes comme les humains disent. Je compris que ma mère avait également cette faculté, mon père ayant été trop surpris lorsque je m’étais transformé. Mais l’homme finit par mourir d’une maladie et ma vie d’errance reprit. Jusqu’à arriver à Blackwood City. Depuis maintenant cinq ans, je suis ambulancière en ville. Je suis bien acceptée en ville, sachant que ma nature de créature est bien cachée… Du moins, je le pense.

T'as de la chance, j'adore les histoires glauques. xD J'adore ta plume, ta façon d'écrire, ton personnage... je suis sous le charme ! J'ai donc le plaisir de te valider, jolie blonde !

Félicitation ! Te voilà validé ! Dans un premier temps, je t'invite à aller faire ta fiche de liens ainsi que ton répertoire à sujet et si tu as besoin de quoique ce soit d'autre, n'hésites pas à passer par ici !

Et si tu ne veux pas te battre seul(e), tu peux rechercher une meute ou même créer un scénario et n'oublie pas de vérifier que ton avatar est recensé.

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Bon jeu !